Les 5 albums du vendredi 11 novembre à écouter absolument ! 

Voici la sélection des meilleurs disques de la semaine proposée par Les Inrockuptibles. Gold Panda The Work (City Slang/PIAS) Ni rouillé, ni dépassé, c’est avec la tête remplie d’idées neuves qu’il signe The Work, un quatrième album qui, à...

Les 5 albums du vendredi 11 novembre à écouter absolument ! 

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Voici la sélection des meilleurs disques de la semaine proposée par Les Inrockuptibles.

Gold Panda The Work (City Slang/PIAS)

Ni rouillé, ni dépassé, c’est avec la tête remplie d’idées neuves qu’il signe The Work, un quatrième album qui, à l’image de ceux produits par Kelly Lee Owens, Daniel Avery ou Ghost Culture, nous emmène dans ses pensées, ses humeurs, ses rêves, son intimité. Ici, il ne s’agit pas de tendre vers une musique cool, en phase avec les tendances, d’autant que cette notion n’a que rarement à voir avec la véritable créativité, mais bien de définir un univers poétique que l’imaginaire collectif n’a plus qu’à compléter.

Par Maxime Delcourt

Lire la critique de The Work

Lous and the Yakuza Iota (Columbia/Sony Music)

Le second album de Lous and the Yakuza ne s’embarrasse d’aucune étiquette hormis celle d’une pop r’n’b fédératrice, nourrie de mbalax comme de mélodies nippones kawaii et de rap East Coast. La chanteuse le concède : “Pour nous, êtres humains essayant de naviguer tant bien que mal dans la société actuelle, la musique représente décidément bien plus que des mots.” Et c’est vrai, un simple beat de Iota, allié à la voix prégnante de Lous, est bien capable de nous faire monter les larmes aux yeux.

Par Sophie Rosemont

Lire la critique de Iota

Plaid Feorm Falorx (Warp/Kuroneko)

Le duo, encore plus qu’un Aphex Twin, a conservé le cap de sa techno de salon aux mélodies construites grâce à de subtils couper-coller et à des sonorités synthétiques. Onzième album d’une discographie pleine de reliefs et sans faille, Feorm Falorx montre l’alchimie de Plaid à son sommet. Ils ont imaginé cette collection de dix titres comme la retranscription studio d’une performance livrée lors d’un événement galactique (fictif, donc), le Feorm Festival, organisé sur la planète Falorx.

Par Vincent Brunner

Lire la critique de Feorm Falorx

Principles of Geometry ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ (Tigersushi/Bigwax)

Ovni hors norme, qui charme un peu plus à chaque écoute, ce cinquième LP emporte avec lui toutes ses influences vers un ailleurs post electronica patiemment élaboré depuis une quinzaine d’années par le groupe. La preuve en beauté que si Principles of Geometry regarde dans le rétro, c’est pour mieux foncer vers le futur.

Par Patrick Thévenin

Lire la critique de ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ 

Redcar Redcar Les Adorables Étoiles (Because)

Plus polymorphe que jamais, l’artiste (qui se genre au masculin) revient en tant que Redcar, son nouvel alias, en déroute sur les rivages d’une coldwave diluée à la synthpop. Une fois surmonté le dépaysement des 1ères toplines en quasi autonomie des mélodies, on se laisse porter de titre en titre avec le sentiment d’une confuse homogénéité.

Par Briac Julliand

Lire la critique de Redcar Les Adorables Étoiles (prologue)