Les 5 albums du vendredi 27 mai à écouter absolument !

Voici la sélection des meilleurs disques de la semaine proposée par Les Inrockuptibles. Dehd Blue Skies (Fat Possum Records/The Orchard) L’énergie est contagieuse, la sincérité désarmante. Les morceaux plus downtempo font mouche également....

Les 5 albums du vendredi 27 mai à écouter absolument !

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

Voici la sélection des meilleurs disques de la semaine proposée par Les Inrockuptibles.

Dehd Blue Skies (Fat Possum Records/The Orchard)

L’énergie est contagieuse, la sincérité désarmante. Les morceaux plus downtempo font mouche également. L’émotion est au rendez-vous tout au long de l’album. Ici, nulle peur d’appuyer sur les clichés du rock 80’s et 90’s. Et si les coutures du costume de scène sont apparentes, la pose se prend toujours avec panache. Beau et idiot comme une adolescence prolongée.

Par Arnaud Ducome

Lire la critique de Blue Skies

Liam Gallagher C’Mon You Know (Warner)

On pourrait croire que la grande gueule la plus flamboyante du rock anglais s’est assagie. Que l’on se rassure : à 49 ans, Liam Gallagher n’a rien perdu de sa superbe. De sa dégaine de voyou à ses voyelles étirées à l’infini, l’éternel kid de Manchester continue de chanter torse bombé de solides morceaux qui mettent les guitares au 1er plan. 

Par Noémie Lecoq

Lire la critique de C’Mon You Know

Jeshi Universal Credit (Because)

Ce qui est certain, c’est que le natif de Newham n’a pas souhaité dégainer l’artillerie lourde. Universal Credit est un album empreint de cette simplicité que son auteur aime pratiquer depuis ses débuts. Il n’est pas question ici de passer un cap ou à la vitesse supérieure, mais d’offrir, à tous·tes, désormais, une nouvelle version de son style bien ancré.

Par Brice Miclet

Lire la critique de Universal Credit

Perez Rex (Etoile Distante/Kuroneko)

Après Sados, un EP paru en février dernier explorant la figure du méchant, Perez continue de brouiller les pistes avec Rex. Un quatrième LP à part dans sa discographie, entre performance contemporaine et bande-son azimutée, inspiré de films noirs comme La Nuit du chasseur ou Joker, et pensé comme l’illustration sonore de l’exposition Arder Havir, au centre d’art contemporain Le Micro Onde à Vélisy, où la musique de Perez ricoche entre installations vidéo et sculptures déjantées.

Par Patrick Thévenin

Lire la critique de Rex

Roméo Elvis Tout peut arriver (Island Def Jam/Universal)

Derrière les tics de production aptes à emballer des morceaux finalement assez creux, et des interludes un peu lourdes, Roméo Elvis a le mérite d’avancer ici entre potes (Vynk, PH Trigano, JeanJass), de s’ouvrir à d’autres artisans du son (Myd, Seezy) et même de s’essayer pour la 1ère fois à la production.

Par Maxime Delcourt

Lire la critique de Tout peut arriver