Les porte-drapeaux français aux Jeux olympiques devenus champions olympiques
SPORT - C’est une 1ère dans l’histoire des Jeux olympiques. À Tokyo, le 23 juillet prochain, la France n’aura pas un, mais deux porte-drapeaux lors de la cérémonie d’ouverture. Leur nom sera dévoilé ce lundi 5 juillet par le Le Comité national...
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SPORT - C’est une 1ère dans l’histoire des Jeux olympiques. À Tokyo, le 23 juillet prochain, la France n’aura pas un, mais deux porte-drapeaux lors de la cérémonie d’ouverture. Leur nom sera dévoilé ce lundi 5 juillet par le Le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) qui s’est converti à la possibilité ouverte par le Comité international olympique (CIO) en mars 2020 de nommer un binôme.
Sept femmes et cinq hommes sont en lice:
- Clarisse Agbegnenou (judo)
- Johanne Defay (surf)
- Sandrine Gruda (basket-ball)
- Maïva Hamadouche (boxe)
- Kristina Mladenovic (tennis)
- Mélina Robert-Michon (athlétisme-disque)
- Charline Picon (planche à voile)
- Samir Ait-Saïd (gymnastique)
- Maxime Beaumont (canoë-kayak)
- Renaud Lavillenie (athlétisme-perche)
- Florent Manaudou (natation)
- Astier Nicolas (équitation)
Deux succéderont donc à Teddy Riner, qui était le porte-drapeau français à Rio en 2016. Cette année-là, le judoka avait remporté un titre olympique (son deuxième), ce qui est une rareté pour un porte-drapeau tricolore. Car en 23 olympiades, seulement quatre sont montés sur la 1ère marche du podium: Teddy Riner, David Douillet, Marie-José Pérec et Philippe Riboud.
Porte-drapeaux français aux JOInfogram
Jusqu’en 1956 et le bronze conquis par l’haltérophile Jean Debuf, il semblait même y avoir une forme de malédiction, car aucun porte-drapeau n’avait obtenu de médaille. Depuis sa troisième place, 9 sur 15 sont repartis médaillés de leur olympiade, mais ils sont quelques-uns à avoir connu une désillusion: Laura Flessel, Tony Estanguet et Jackson Richardson, repartis bredouille en 2012, 2008 et 2004.
“Teddy (Riner) a rompu la malédiction, donc s’il y a un moment où il faut y aller, c’est bien maintenant”, a commenté le perchiste Renaud Lavillenie en faisant acte de candidature au printemps. Champion olympique à Londres, vice-champion à Rio, il vise à Tokyo une troisième médaille.
Un palmarès qu’il a donc envie de compléter avec le rôle honorifique de porte-drapeau. “C’est un rôle très important et très prestigieux. C’est l’une des plus belles récompenses extra-sportives possible, surtout dans un pays comme la France où on a suffisamment de champions légitimes (...) Il s’agit de faire rayonner la France. C’est rare et précieux”, a-t-il confié.
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