L’ex-Klaxons James Righton fond avec brio space disco et électronique

En 2020, James Righton disait être définitivement revenu de l’ère Klaxons, de cette fluorescente adolescence où les réveils matinaux succédaient aux soirées tardives. À l’opposé de cette frénésie de sons, The Performer se voulait donc un disque...

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En 2020, James Righton disait être définitivement revenu de l’ère Klaxons, de cette fluorescente adolescence où les réveils matinaux succédaient aux soirées tardives.

À l’opposé de cette frénésie de sons, The Performer se voulait donc un disque finement arrangé, parfois en manque de reliefs, mais tout de même séduisant grâce à un sens de la musicalité plus orchestré, moins fougueux et électronique. Depuis, l’Anglais a prolongé sa collaboration avec Soulwax – au mixage sur le 1er album, les frères Dewaele sont désormais les producteurs de Righton – et provoqué d’autres rencontres.

Un pur mélodiste

James Righton accueille ici l’un des membres d’Abba, Benny Andersson, le temps d’Empty Rooms, où il assume ses obsessions pour les synthés eighties, l’electropop et le space disco. C’est bien simple : si on ne se renseignait pas sur son millésime, on pourrait jurer que Jim, I’m Still Here débarque des années 2000, extrait d’une discographie qui hébergerait aussi les œuvres de LCD Soundsystem, Simian Mobile Disco et… Soulwax.

Les boissons énergisantes en moins, certes, mais, en plus, l’envie de ne pas être cet ami d’avant aux côtés de qui on se contente d’évoquer les innombrables souvenirs de temps plus naïfs. C’est un pur mélodiste, un artiste qui souhaite ici redonner du sens au mot “album”, et agencer nappes synthétiques et songwriting en une pop qui a le diable au corps.

Jim, I’m Still Here (Deewee/Because). Sortie le 8 juillet. Concert le 21 septembre à Paris (Le Hasard Ludique).