Mark Zuckerberg a une façon très étrange de fêter le 4 juillet aux États-Unis
ÉTATS-UNIS - “Happy 4th of July!” Alors que les États-Unis fêtaient comme chaque année leur indépendance ce dimanche 4 juillet, Mark Zuckerberg s’est mis en scène d’une manière un peu particulière sur Instagram. Pas de hot-dog ou de barbecue...
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ÉTATS-UNIS - “Happy 4th of July!” Alors que les États-Unis fêtaient comme chaque année leur indépendance ce dimanche 4 juillet, Mark Zuckerberg s’est mis en scène d’une manière un peu particulière sur Instagram. Pas de hot-dog ou de barbecue au programme, mais une petite séance de surf électrique drapeau américain en main, accompagnée de la musique “Take Me Home, Country Roads”, de John Denver.
Une vidéo appelée à devenir un mème qui n’est absolument pas passée inaperçue, puisqu’à peine sortie, elle a déjà été visionnée plus d′1,5 million de fois sur Instagram. Qui dit séquence virale dit forcément réactions en chaine sur les réseaux sociaux. Et si certains internautes se sont amusés de la situation, ce n’est pas forcément le cas de tout le monde.
View this post on InstagramA post shared by Mark Zuckerberg (@zuck)
pic.twitter.com/sWN5fCfpS6
— Vic ???? (@vicsepulveda) July 4, 2021
Someone told Mark Zuckerberg to act totally normal for July 4th pic.twitter.com/795YWFigjA
— philip lewis (@Phil_Lewis_) July 4, 2021
Here is Mark Zuckerberg, perfectly summarizing why the rest of the world hates Americans. pic.twitter.com/oooY7kiLmU
— Amee Vanderpool (@girlsreallyrule) July 4, 2021
Mark Zuckerberg is trying to act human again. pic.twitter.com/7r1odNfN2v
— Christopher Wylie ????️???? (@chrisinsilico) July 4, 2021
"‘Patriotism is the last refuge of a scoundrel.’ He did not mean a real and generous love of our country, but that pretended patriotism which so many, in all ages and countries, have made a cloak for self-interest." https://t.co/1SBEMeCKUR
— Edward Snowden (@Snowden) July 5, 2021
“Voici Mark Zuckerberg, qui résume parfaitement pourquoi le reste du monde déteste les Américains”, écrit la journaliste de SHERO Amee Vanderpool. “Mark Zuckerberg essaie à nouveau d’agir comme un humain”, surenchérit Christopher Wylie, le lanceur d’alerte canadien à l’origine du scandale “Cambridge Analytica”.
Révélée en 2018 par le Guardian et le New York Times, l’affaire avait surgi grâce au témoignage de Christopher Wylie. Il avait montré comment l’entreprise avait collecté des données d’utilisateurs de la plateforme afin de cibler les électeurs et ainsi influencer les élections présidentielles en faveur de Donald Trump. Une collecte dont Facebook était au courant selon les deux journaux.
"Le patriotisme, refuge de scélérats"
Ce n’était pas la seule fois que le réseau social se retrouvait associé à l’ancien président des États-Unis. En effet, en 2016, la victoire du milliardaire américain avait valu à Facebook de nombreuses critiques sur leur inaction concernant les fake news diffusée sur sa plateforme. “La manière la plus évidente avec laquelle Facebook a permis la victoire de Trump a été son incapacité (ou son refus) de traiter le problème des canulars ou des fausses infos”, s’était à l’époque insurgé Max Read, éditorialiste au New York Magazine.
Autant d’affaires qui ont fait dire à Edward Snowden, autres très célèbre lanceur d’alerte américain, qu’il ne s’agit que d’un “prétendu patriotisme” de la part du fondateur de Facebook. Et le lanceur d’alerte américain de reprendre les mots de Samuel Johnson, célèbre auteur britannique du 18e siècle: “le patriotisme est le dernier refuse des scélérats”.
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