Muddy Monk, Efterklang, Mustafa… Voici les 5 albums de la semaine !

Muddy Monk Bingo Paradis (Half Awake Records/Bigwax) Aussi à l’aise dans l’exercice sentimental que sur un mode gentiment ego trip, Guillaume Dietrich déploie les textes les plus libres et modernes de sa discographie. Dans une sorte de poétique...

Muddy Monk, Efterklang, Mustafa… Voici les 5 albums de la semaine !

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Muddy Monk Bingo Paradis (Half Awake Records/Bigwax)

Aussi à l’aise dans l’exercice sentimental que sur un mode gentiment ego trip, Guillaume Dietrich déploie les textes les plus libres et modernes de sa discographie. Dans une sorte de poétique de messagerie instantanée, directement branchée sur le cœur, il vante ses choix de vie et son agentivité (“Même si on n’est pas vraiment fait pour cette merde/On a fini par savoir rider cette vie boy/Et ça c’est le prix pour être un peu plus libre”), et explique des histoires d’amour en écriture spontanée. “D’un coup c’est clair, je suis fait pour ça.” Bingo !

Par Théo Dubreuil

Lire la chronique de Bingo Paradis

Efterklang Things We Have in Common (City Slang/PIAS)

Des mains qui se saluent, semblent prendre la parole, se frôlent : la pochette colorée du nouvel album d’Efterklang souligne ses intentions. Panser les blessures d’une pop toujours alternative et mélodique, soustraite à l’agressivité du monde jusqu’à former un cocon dont les fines parois ne dissimulent guère la tourmente des sentiments – le mot, employé au singulier (et en français), offre d’ailleurs son titre à l’une des neuf pistes.

Par Sophie Rosemont

Lire la chronique de Things We Have in Common

Mustafa Dunya (Jagjaguwar/Modulor)

Le songwriter canadien a toutefois la courtoisie de transformer chacune de ses pensées tourmentées en chansons réconfortantes : jamais, en effet, la noirceur n’a été aussi lumineuse que dans ces douze folk songs sensibles, douces, qui proposent in fine une forme de consolation face à la violence qui agite l’époque. “Même quand je veux choisir le pistolet, il en sort des fleurs”, résume-t-il, lucide.

Par Maxime Delcourt

Lire la chronique de Dunya

Sophie Sophie (Transgressive Records/PIAS)

Dans son aspect participatif inédit (tous les titres sauf l’intro sont en featuring), le disque prend l’allure plus impersonnelle d’une mixtape à la direction artistique peu perceptible, malgré la présence au casting de certaines collaboratrices régulières de la productrice – parmi lesquelles Evita Manji, sa conjointe, mais aussi la brillante Doss, ou Cecile Believe et Hannah Diamond, deux figures de la scène hyperpop que la palette sonore de Sophie a durablement marquées (la 1ère lui avait d’ailleurs déjà prêté sa voix pour l’éternel Immaterial).

Par Briac Julliand

Lire la chronique de Sophie

Alan Sparhawk White Roses, My God (Sub Pop/Modulor)

Avec White Roses, My God, il trouve la parade en se créant un alter ego par l’entremise d’une voix ultra-pitchée, qui oscille entre le très grave et le très aigu jusqu’au mal de mer, et s’entoure de synthétiseurs et de boîtes à rythmes occupant chaque centimètre carré de ces onze chansons ne dépassant qu’à une rare exception la barre des 4 minutes.

Par François Moreau

Lire la chronique de White Roses, My God