Mustang toujours indomptable sur son nouvel album

“J’ai bu douze Cuba libre/Pris quatre Lexomil”, chantait Jean Felzine dans Les Oiseaux blessés, le mémorable titre d’ouverture du précédent album de Mustang. Sept années ont passé depuis Ecran total, mais le ton a à peine changé : “J’ai reçu...

Mustang toujours indomptable sur son nouvel album

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

“J’ai bu douze Cuba libre/Pris quatre Lexomil”, chantait Jean Felzine dans Les Oiseaux blessés, le mémorable titre d’ouverture du précédent album de Mustang. Sept années ont passé depuis Ecran total, mais le ton a à peine changé : “J’ai reçu mon virement/De Pôle emploi/C’est mon problème/Si cet argent je le bois” (Pôle emploi/Gueule de bois).

Pourtant, son auteur a entamé une cure de sobriété depuis plus d’un an, avant même l’historique premier confinement en raison duquel certain·es auront soudainement pris des résolutions drastiques.

Une envie d’arrêter les excès éthyliques pour le leader du trio auvergnat, réputé pour sa levée de coudes comme pour ses enflammades proverbiales sur les réseaux sociaux. Avec son sens de la formule et une écriture incisive éprouvés depuis plus d’une décennie (Le Pantalon, Le Sens des affaires, Salauds de pauvres, Fils de machin), Jean Felzine n’élude aucun sujet tabou dans son répertoire.

Une tournée impromptue avec Blondie