Orelsan donne son avis sur les collaborations avec les Américains
En marge de sa collaboration avec les Neptunes, Orelsan a parlé des featurings entre Américains et Français. Et ce n’est pas ce qu’il estime le plus. Ce mardi, Orelsan était l’invité de Tony Parker dans le podcast du basketteur français sur...
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En marge de sa collaboration avec les Neptunes, Orelsan a parlé des featurings entre Américains et Français. Et ce n’est pas ce qu’il estime le plus.
Ce mardi, Orelsan était l’invité de Tony Parker dans le podcast du basketteur français sur Spotify. Une discussion d’une trentaine de minutes où les deux hommes ont échangé sur leurs parcours respectifs et les sorties récentes d’Orelsan. L’occasion pour le Caennais de revenir sur sa collaboration avec les Neptunes, certifiée single d’or tout récemment. Une connexion franco-américaine spéciale, que le rappeur ne se voit pas forcément reproduire de si tôt.
À lire aussi : Orelsan imagine les pires fins pour sa carrière.
Le titre « Dernier verre » d’Orelsan & The Neptunes est certifié Single Or !
15 000 000 équivalents streams
Bravo ! pic.twitter.com/SjeNBlIXLQ
— Le SNEP (@snep) January 30, 2023
Orelsan : «C’est pas forcément un plan de carrière»
«J’ai envie moi personnellement de le faire (ndlr. travailler avec des américains), dans le sens Aurélien le fan de rap et de musique. J’ai envie de la faire parce que je reste fan de pleins d’artistes, explique Orelsan. Bosser avec Pharrell c’est un rêve tu vois, j’ai toujours été fan des Neptunes et de Pharell. Mais j’aurais du mal à faire un album comme ça. Je ne suis pas américain. Et personne ne pourra avoir le même investissement que Skread dans ma musique».
En vérité, de telles collaborations restent des événements à part entière. Et la possibilité de les reproduire, très hypothétique. «C’est plus un rêve. Je pense que si j’ai l’occasion de le faire, je le ferais plus de temps en temps, C’est plus des morceaux un peu pour le fun, plus pour moi, pour me donner des kif, sourit Orelsan. Mais c’est pas forcément un plan de carrière».
Dans le reste de l’actualité, Georgio cause du jour où PLK l’a impressionné en studio.