“Post Heaven” : DyE et Shoko Igarashi embarquent Bernardino Femminielli dans un trip rédempteur
Post-rock, post-punk, post-moderne, Post Heaven. Le producteur et musicien français DyE et sa consœur nippone Shoko Igarashi embarquent le génie Bernardino Femminielli dans une rave aux accents free jazz (le saxo éraillé de Shoko) et gothique...
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Post-rock, post-punk, post-moderne, Post Heaven. Le producteur et musicien français DyE et sa consœur nippone Shoko Igarashi embarquent le génie Bernardino Femminielli dans une rave aux accents free jazz (le saxo éraillé de Shoko) et gothique le temps d’un morceau clippé par Bunni Europe, extrait de MySpace, quatrième album de DyE, paru cette année.
Ici, le Québécois la joue spoken word, dans un titre où, je cite, faute de trouver de mots plus éloquents, “il incarne un industriel se réveillant dans un lit d’hôpital, cédant son autonomie, donc son pouvoir, à l’infirmière. Il récupère peu à peu la mémoire, puis s’évade tout en prenant conscience de ce qu’il est vraiment : un dirigeant tyrannique qui a été séquestré par ses employés d’une usine de charcuterie. Laissant sa dignité – y compris ses vêtements –, il se rend, nu, dans les limbes de son subconscient, tel un ermite des 1ers temps de la chrétienté”. Toute ressemblance avec la direction du parti Les Républicains est purement fortuite.