Pour Donald Trump, la nouvelle procédure de destitution cause "une immense colère" chez ses partisans
ÉTATS-UNIS - Une manœuvre “qui fait beaucoup de mal au pays”. Ce mardi 12 janvier, avant de s’envoler pour le Texas et le mur qu’il a commencé à faire construire à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, le président américain Donald...
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ÉTATS-UNIS - Une manœuvre “qui fait beaucoup de mal au pays”. Ce mardi 12 janvier, avant de s’envoler pour le Texas et le mur qu’il a commencé à faire construire à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, le président américain Donald Trump s’est exprimé pour la première fois depuis les tragiques événements du Capitole de Washington D.C.. Et il a évidemment évoqué la procédure de destitution enclenchée la veille contre lui par les démocrates.
Jugeant ce procédé “totalement ridicule”, le milliardaire a notamment déploré que ses opposants politiques -en particulier la cheffe de file des représentants démocrates Nancy Pelosi et le sénateur de New York Chuck Schumer- se lancent dans un tel processus (qui n’a que très peu de chance d’aboutir d’ici au 20 janvier, date de la passation de pouvoir entre lui et Joe Biden, ndlr).
Surtout, au lendemain de la publication par le média américain ABC d’une note du FBI s’inquiétant de possibles manifestations pro-Trump armées dans les jours environnant l’entrée en fonction de Joe Biden, le président des États-Unis a mis en garde quant à la “colère immense” causée chez ses partisans par la procédure d’impeachment.
Regrettant que les violences du Capitole aient été davantage commentées que les affrontements réguliers à Portland entre suprémacistes blancs et militants antifascistes (que Trump attribue uniquement à la gauche), le chef de l’État américain a ajouté qu’il ne voulait pas davantage de violence dans le pays.
Et d’assurer pour finir que les quelques mots qu’il a prononcés durant les événements du Capitole -un discours dans lequel il ne condamnait aucunement les violences en cours et où il assurait même aux manifestants qu’il les “aimait”- étaient “tout à fait appropriés”. Une manière de continuer à s’adresser à sa base, toujours plus radicalisée à mesure que la passation de pouvoir approche.
À voir également sur Le HuffPost: Avant Washington, un autre Capitole avait déjà été envahi par des “patriotes” américains