Rebeka Warrior (Sexy Sushi) et Fishbach reprennent “A Forest” The Cure, et c’est dément
Des six heures de live dispensées par plus de 100 artistes lors de l’événement Hypernuit de Radio France, c’était certainement l’une des rencontres les plus évidentes des festivités : Fishbach et Rebeka Warrior de Sexy Sushi, Kompromat et Mansfield.TYA...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
Des six heures de live dispensées par plus de 100 artistes lors de l’événement Hypernuit de Radio France, c’était certainement l’une des rencontres les plus évidentes des festivités : Fishbach et Rebeka Warrior de Sexy Sushi, Kompromat et Mansfield.TYA reprenant un cultissime morceau des Cure.
Impulsé par Didier Varrod, directeur musical de Radio France, suite au mouvement #Etonremetleson initié par Juliette Armanet et Malik Djoudi, cette soirée du 23 janvier dernier aura permis son lot de collisions inattendues dont cette reprise magique d’A Forest, extrait du second album de la bande de Robert Smith, Seventeen Seconds.
A Forest (feat. Fishbach) by Rebeka Warrior>> À lire aussi : “Cold Tears” : Dominic Sonic réédité en beauté un an après sa disparition
CadeauÀ la suite de cette performance enchanteresse, la greffe entre Rebeka et Fishbach a tellement bien prise que la paire a foncé en studio pour enregistrer sa propre version du classique des Cure. Ce jeudi 22 juillet, la version finale est désormais disponible gratuitement, en écoute et en téléchargement, sur la page Bandcamp de Rebeka Warrior.
Dans une version presque méconnaissable, le duo nouvellement formé s’amuse à détourner les riffs imparables d’A Forest en lui imposant une sorte de groove détraqué et synthétique qui lui sied à ravir. Des circonvolutions électroniques de Rebeka Warrior à la voix caverneuse de Fishbach, tout semble converger si simplement vers un même point que cette reprise a déjà des allures d’évidence.