Régionales 2021: après l'alliance LR-LREM en Paca, qui sont les candidats déclarés?

POLITIQUE - L’échéance approche et on en sait (un peu) plus sur la configuration des élections régionales. Premier enseignement du week-end: la ministre Sophie Cluzel ne sera pas tête de liste en Paca, où le président sortant Renaud Muselier...

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POLITIQUE - L’échéance approche et on en sait (un peu) plus sur la configuration des élections régionales. Premier enseignement du week-end: la ministre Sophie Cluzel ne sera pas tête de liste en Paca, où le président sortant Renaud Muselier a trouvé un accord avec la majorité présidentielle (ce qui a fait hurler la droite). Un rassemblement sous forme de barrage à l’extrême droite qui rebat les cartes dans le Sud Est, où d’aucuns craignent que cette alliance finisse par booster la candidature RN de Thierry Mariani. 

Si la campagne démarre tout doucement, en raison notamment de l’omniprésence de la crise sanitaire, les choses commencent à bouger. On a vu par exemple des ministres sauter le pas, à l’image de Marlène Schiappa, qui vient en appui de la candidature de Laurent Saint-Martin en Île-de-France.

Toujours côté gouvernement, Brigitte Klinkert, actuelle ministre déléguée chargée de l’Insertion, s’est déclarée tête de liste “sans étiquette” dans la région Grand Est, tenue par le LR Jean Rottner. “Je veux un rassemblement le plus large possible, ce sera une liste d’union composée de citoyens du centre, de la droite et de la gauche”, a déclaré celle qui détaillera son dispositif ce lundi 3 mai. Au regard des sondages, l’hypothèse d’une fusion au deuxième tour avec Les Républicains paraît fort probable pour celle qui était, avant son entrée au gouvernement, Présidente du Conseil départemental du Haut-Rhin élue sous les couleurs de... l’UMP.  

À gauche, le scénario de l’union observé dans les Hauts-de-France peine à se reproduire dans d’autres régions, et n’a d’ailleurs pas réussi à se convertir à l’échelon départemental (ce qui a mis en colère Jean-Luc Mélenchon).

Pendant ce temps, le RN se tient en embuscade. Resté aux portes des Hauts-de-France et de Paca en 2015, le parti de Marine Le Pen rêve de crever un nouveau plafond en gagnant pour la 1ère fois une région. Il compte pour cela sur un casting hétéroclite entre cadres bien implantés (Sébastien Chenu dans les Hauts-de-France, Jordan Bardella en Île-de-France) ou recrues récentes (Thierry Mariani en Paca, Jean-Paul Garraud en Occitanie, Andrea Kotarac en Auvergne-Rhône-Alpes).

Ci-dessous, l’état des forces tel qu’il est connu à ce jour: la date limite pour déposer ses listes est fixée au 17 mai.

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