Régionales: Marie-Caroline Le Pen candidate RN en Île-de-France
RÉGIONALES - Marie-Caroline Le Pen, sœur aînée de Marine Le Pen, sera candidate pour le RN aux élections régionales en Île-de-France, a-t-on appris ce vendredi 14 mai auprès du numéro 2 du Rassemblement national Jordan Bardella, confirmant...
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RÉGIONALES - Marie-Caroline Le Pen, sœur aînée de Marine Le Pen, sera candidate pour le RN aux élections régionales en Île-de-France, a-t-on appris ce vendredi 14 mai auprès du numéro 2 du Rassemblement national Jordan Bardella, confirmant une information du Figaro.
Marie-Caroline Le Pen sera deuxième sur la liste RN des Hauts-de-Seine, a confirmé Jordan Bardella, tête de liste du parti en Île-de-France. Il était crédité de 17% au 1er tour dans un récent sondage Ipsos, contre 34% à la candidate ex-LR Valérie Pécresse et 12% à Audrey Pulvar (Île-de-France en commun, soutenue par le PS).
“Marie-Caroline, c’est le choix de l’expérience et de la technicité, après trois mandats au conseil régional d’Île-de-France entre 1992 et 2004. Notre groupe avait alors notamment été à l’origine de la demande de création d’une police régionale des transports”, a déclaré Jordan Bardella dans un message à l’AFP.
Brouillée en 1998 avec le clan familial
Marie-Caroline Le Pen, 61 ans, revenue dans les années 2000 au FN (désormais RN) après avoir fait dissidence, avait fait son retour politique l’an dernier à Calais sur la liste du RN aux municipales, qui avait finalement obtenu 17,9% des voix derrière la liste de la maire sortante LR Natacha Bouchart (50,2%).
Élue conseillère régionale lors des élections de 1992 sur la liste FN dans les Hauts-de-Seine, elle avait été réélue en 1998.
La politique, on y revient “comme le vélo”, expliquait en 2020 l’aînée des trois filles Le Pen, qui s’était engagée très jeune au Front national.
Elle s’était ensuite brouillée en 1998 avec le clan familial en ralliant, avec son mari, le MNR (Mouvement national républicain) de Bruno Mégret, dont elle a démissionné en 2000.
Marine Le Pen avait déclaré publiquement, en 2011, avoir “totalement pardonné” à sa sœur, qui avait réintégré en 2016 le FN.
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