Requin Chagrin a un sentiment de “Déjà Vu” dans son nouveau clip

“J’ai voulu parler d’étoiles, notamment des perséides, ce moment autour du 15 août où se multiplient les étoiles filantes. C’est l’heure de faire des vœux, de tout recommencer.” C’est en ces termes que Marion Brunetto, le cerveau derrière Requin...

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“J’ai voulu parler d’étoiles, notamment des perséides, ce moment autour du 15 août où se multiplient les étoiles filantes. C’est l’heure de faire des vœux, de tout recommencer.” C’est en ces termes que Marion Brunetto, le cerveau derrière Requin Chagrin, détaille son morceau dans le communiqué de presse accompagnant la sortie du clip satiné de Déjà vu, réalisé par Antoine Carlier. A la fois mystique et profane, onirique et prosaïque, cette courte description en dit déjà long sur la manière ambivalente dont la jeune femme, signée sur label KMS de Nicola Sirkis, envisage sa musique : une poésie de l’intime à même de se transposer dans les enjeux d’aujourd’hui. Puisque, quoi de plus naturel que de vouloir tout recommencer de zéro en ces temps troublés ?

Depuis son morceau inaugural, Adelaïde, repéré par les éminents diggers de La Souterraine, Requin Chagrin n’a eu de cesse de revisiter tous les courants du rock : yé-yé, dream pop, shoegaze. L’imparable riff de synthés qui se perd en écho de Déjà vu ne fera pas exception.

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Dream team

Sur son futur album, Bye Bye Baby, dont le titre s’envisage comme autant de références aux Ronettes, à Suicide, Mac DeMarco et, finalement, tout un imaginaire de la pop music, Marion Brunetto est épaulé nul autre que Chab (Daft Punk, Air, SebastiAn) au mastering, et d’Ash Workman (Christine & The Queens, Metronomy) en qualité d’ingénieur du son. Des bâtisseurs de rêve qui promettent d’offrir un écrin de cathédrale aux 10 morceaux de Bye Bye Baby à paraître courant 2021.

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