Sarah Benabdallah (Mauvais Œil) évoque Clara Luciani : “On se tire tout le temps vers le haut”
Avant 2018, Sarah Benabdallah écumait les groupes en tant que choriste et claviériste aux États-Unis, s’octroyait une virée française auprès de La Femme et, comme un certain Alexis Lebon, cherchait “la pièce manquante [à son] puzzle”. Tous...
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Avant 2018, Sarah Benabdallah écumait les groupes en tant que choriste et claviériste aux États-Unis, s’octroyait une virée française auprès de La Femme et, comme un certain Alexis Lebon, cherchait “la pièce manquante [à son] puzzle”. Tous les deux ont formé Mauvais Œil vite, et sans bien se connaître. “On a mis un peu de temps à trouver la formule”, confesse la chanteuse pour qui leurs 1ers EP, Nuits de velours, paru en 2019, et Mektoub, sorti l’année suivante, étaient encore “expérimentaux”. En revanche, avec Crève-Cœur, single partagé en 2021, Mauvais Œil amorce un nouveau cycle que Sarah juge davantage “tranché et cohérent”, et qui amène le duo à se décomplexer.
Pour elle, la pop est indispensable. Elle admire The Beatles (“le plus grand groupe de pop”), Kate Bush et l’indétrônable Britney Spears. Remontant le temps, elle se souvient de sa rencontre avec Clara Luciani, en 2015, derrière les micros de ce “brouhaha” qu’est La Femme. “C’était vraiment la colonie de vacances ! On partageait la même couchette avec Clara. Nous, on était disciplinées et eux foutaient le bordel”, s’amuse Sarah au téléphone. Justement, elle admire Clara pour cette “discipline émotionnelle” qui lui donne une certaine stabilité dans la déferlante du succès.
Convoquant des chanteuses actuelles qui “bousculent les codes”, comme Aurora, Lizzo ou Rosalía, Sarah constate une certaine sororité à laquelle elle rattache son amitié avec Clara : “On se voit évoluer et on se tire tout le temps vers le haut.”