SCH : dans le Doubs, un certain Julius menacé par la mafia sicilienne
La sortie explosive de JVLIVS II de SCH ne fait pas que des heureux : à Pontarlier, dans le Doubs, un certain Julius croule sous les menaces de Cosa Nostra. «Je me suis réveillé un matin avec une tête de cheval sur le seuil de la porte et un...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
La sortie explosive de JVLIVS II de SCH ne fait pas que des heureux : à Pontarlier, dans le Doubs, un certain Julius croule sous les menaces de Cosa Nostra.
«Je me suis réveillé un matin avec une tête de cheval sur le seuil de la porte et un mot : “On sait qui t’es Julius”», confit-il. Depuis près d’un mois, Julius, 23 ans et habitant de Pontarlier dans le Doubs, croule sous les menaces de Cosa Nostra, le réseau mafieux sicilien. Ce modeste étudiant en Droit a troqué sa paisible vie pour des menaces régulières venues de l’autre côté de la Méditerranée : en cause, le récit de JVLIVS de SCH.
Julius interdit de déplacement à l’épicerie italienne
En effet, les exploits narrés dans l’album du rappeur marseillais auraient été mal compris sur la petite île italienne. Et ce trafic illégal fictif, imaginé entre Gibraltar et Marseille, a été vu d’un très mauvais oeil par les trafiquants transalpins. Cherchant à retracer la source de ce mystérieux Julius, Cosa Nostra est remonté jusqu’à Julius dans le Doubs. «Je ne sais pas ce que je viens f*utre là-dedans, explique-t-il. Je ne connais même pas SCH !».
Placé sous protection policière, le jeune homme a dû mal à comprendre la tournure des événements. «Je ne comprends pas vraiment ce qu’ils me veulent. J’ai mis un borsalino une fois à une soirée en Troisième mais c’était pour rire avec des potes, quoi. J’espère qu’ils ne l’ont pas mal pris». Julius vit, depuis, dans la peur : il refuse d’acheter de la mozzarella au drive à Carrefour et est interdit de déplacement dans l’épicerie italienne de Pontarlier. «C’est dommage, j’adore leur bruschetta», souffle-t-il.
Évidemment, cette histoire n’est qu’un poisson d’avril.