Ségolène Royal évoque la tromperie de Hollande dans TPMP : « On ferme sa bouche et on continue à avancer »
Une infidélité qui avait fait couler beaucoup d’encre. En pleine campagne présidentielle de 2007, Ségolène Royal découvrait que son partenaire de longue date, François Hollande, la trompait avec Valérie Trierweiler. Alors que la socialiste...
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Une infidélité qui avait fait couler beaucoup d’encre. En pleine campagne présidentielle de 2007, Ségolène Royal découvrait que son partenaire de longue date, François Hollande, la trompait avec Valérie Trierweiler. Alors que la socialiste de 54 ans luttait pour accéder à la présidence face à Nicolas Sarkozy, elle affrontait simultanément la plus grande trahison de sa vie.
Leur histoire d’amour s’est finalement achevée le 17 juin 2007, seulement deux mois après la défaite de Ségolène Royal face à Nicolas Sarkozy au second tour de l’élection présidentielle. Parmi les raisons de cette rupture figurait la relation adultérine que François Hollande entretenait avec Valérie Trierweiler depuis les années 2000. Dans un entretien accordé au Monde, Ségolène Royal a même affirmé que l’ancien président de la République lui avait « imposé une situation de bigamie ».
Segolène Royal a préféré de rien divulguer
Ce jeudi 23 mai, Ségolène Royal est revenue sur cette tromperie dans l’émission Touche pas à mon poste. Dans sa chronique « Ségolène explique », l’ex-candidate à la présidentielle détaillait « Comment se préparer pour un débat? « . À la fin de sa chronique, après avoir partagé plusieurs anecdotes politiques, Cyril Hanouna a interrogé la chroniqueuse politique sur cette période tumultueuse de sa vie.
« Une petite question. Vous me dites si vous ne voulez pas répondre. Vous étiez avec François Hollande en 2007 ? ». « Ça dépend de ce qu’on appelle par être ensemble », a répondu Ségolène Royal en riant. « J’ai eu ma réponse », lui a alors répondu Cyril Hanouna.
« C’est la loi du silence qu’on s’impose«
Ségolène Royal a ensuite affirmé qu’une telle situation serait inconcevable de nos jours « avec MeToo« . « Vous menez une campagne, vous avez 4 enfants et vous avez votre conjoint qui est avec une autre…« , a-t-elle raconté sans aucun filtre.
« C’est la loi du silence qu’on s’impose, c’est ce que les femmes s’imposent et subissent. C’est la violence psychologique. Si j’avais parlé, si j’avais dit la moindre chose, on aurait dit : ‘Vous voyez, elle est déséquilibrée, elle n’est pas structurée, elle est fragile’. Donc, on ferme sa bouche et on continue à avancer. Ah ouais, c’est dur », a-t-elle lancé. En 2024, l’ex-candidate à la Présidentielle décidé de baisser sa garde et de se expliquer un peu plus.