Ségolène Royal veut devenir sénatrice
POLITIQUE - Ségolène Royal a été députée, conseillère générale, présidente de région, ministre à plusieurs reprises puis ambassadrice des pôles. Mais elle n’a jamais siégé au Sénat. Ce mercredi 3 février, Le Figaro et Libération révèlent que...
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POLITIQUE - Ségolène Royal a été députée, conseillère générale, présidente de région, ministre à plusieurs reprises puis ambassadrice des pôles. Mais elle n’a jamais siégé au Sénat. Ce mercredi 3 février, Le Figaro et Libération révèlent que la finaliste de la présidentielle de 2007 voudrait ajouter cette ligne à son CV.
Plus précisément, Ségolène Royal lorgne la circonscription des Français établis hors de France. “J’y pensais mais en septembre dernier, les élections ont été reportées d’un an. J’avais été sollicitée par beaucoup de Français de l’étranger. Ça me plaisait”, indique-t-elle à Libération, précisant qu’elle dispose d’une “ouverture” avec la non-candidature de la sénatrice PS Claudine Lepage à sa réélection.
Le Sénat, qui renouvelle la moitié de ses sièges tous les trois ans au suffrage universel indirect, a connu des élections au mois de septembre (qui n’ont pas changé grand-chose aux équilibres en présence). Or, six sièges n’ont pas été remis en jeu en raison du Covid-19: ceux des sénateurs établis hors de France.
Sur Public Sénat ce mercredi, le président du groupe PS à la Chambre haute Patrick Kanner a confirmé que Ségolène Royal lui avait fait part de son intention d’être sénatrice. Pour autant, elle ne brigue pas l’investiture de son ancien parti car elle envisage de siéger “apparentée au groupe PS”.
Ce qui promet néanmoins des tractations avec le parti d’Olivier Faure, puisqu’il faudra décider si le siège laissé vacant par Claudine Lepage sera brigué par un candidat PS (et auquel cas opposer une concurrence de gauche à Ségolène Royal au risque d’une défaite probable) ou si un accord pourrait être trouvé entre les différentes parties, qui ont jusqu’au mois de septembre pour s’entendre.
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