serpentwithfeet sublime le r’n’b avec “DEACON”

Trente minutes, c’est plus qu’il n’en faut à serpentwithfeet pour sublimer ses peines, harmoniser ses réflexions spirituelles et creuser plus profondément encore quelques-unes des obsessions qui inondent son œuvre depuis ses 1ers singles :...

serpentwithfeet sublime le r’n’b avec “DEACON”

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Trente minutes, c’est plus qu’il n’en faut à serpentwithfeet pour sublimer ses peines, harmoniser ses réflexions spirituelles et creuser plus profondément encore quelques-unes des obsessions qui inondent son œuvre depuis ses 1ers singles : son africanité, l’homosexualité, ses racines religieuses et la place du romantisme dans les sociétés contemporaines. DEACON, dont les majuscules soulignent l’importance, n’en reste pas moins extrêmement joueur.

C’est le disque à la fois léger et lourd de sens d’un artiste qui sait concocter de folles mélodies, de celles qui contiennent assez d’imagination, de fragilité et de sensualité pour rendre le monde plus beau autour de nous, de celles qui orchestrent la grande confusion des sens, le souk entre différentes émotions, souvent contradictoires.

Les tiraillements de l’âme humaine

C’est que Fellowship, Same Size Shoe ou Wood Boy n’ont pas leur pareil pour expliquer la douleur et la compassion, l’amour et la solitude, tous ces tiraillements qui agitent l’âme humaine. En entrevue, serpentwithfeet dit avoir voulu s’ouvrir ici à de nouvelles perspectives et à des sonorités pop : c’est réussi et, mieux encore, c’est terriblement addictif.

DEACON (Secretly Canadian/PIAS)