“S’il vous plaît, arrêtez” : The Secret DJ demande l'arrêt des raves illégales

C’est dans un texte posté le 16 février sur le site de PRS for Music, le collectif britannique pour les droits d’auteur dans le secteur musical, que The Secret DJ a lancé un appel afin que cessent les free parties en temps de pandémie mondiale....

“S’il vous plaît, arrêtez” : The Secret DJ demande l'arrêt des raves illégales

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

C’est dans un texte posté le 16 février sur le site de PRS for Music, le collectif britannique pour les droits d’auteur dans le secteur musical, que The Secret DJ a lancé un appel afin que cessent les free parties en temps de pandémie mondiale. Tout en pesant ses mots, mais sur un ton toujours péremptoire, l’artiste rappelle que “à chaque fois qu’une rave illégale se déroule, la maladie se propage. Et quand elle se propage, deux choses arrivent. Les gens sont malades et cette période atroce s’étend un petit peu plus.” Il ajoute : “Si vous arrêtez maintenant, vous aiderez cette crise à s’arrêter plus vite. Et plus tôt arrive la fin, plus tôt nous danserons à nouveau TOUS·TES ensemble. Pas divisé·es. Revenez à nous. S’il vous plaît, arrêtez”.

>> À lire aussi : Françoise Cactus, le charme piquant de la fantaisie

Ce n'est que party remise

Voici un extrait de la lettre publié sur PRS for Music :

"Les raves illégales se déroulent encore dans certains lieux comme Tulum et Miami, là où la loi est suffisamment laxiste. Si vous êtes l’un·e de ces DJs qui y joue, au nom de vos collègues, de vos pairs et parfois même de vos ami·es… Nous vous supplions. Nous vous demandons gentiment. S’il vous plaît, arrêtez."

"Comme je l’ai dit, nous pouvons totalement comprendre votre tentation. Surtout pour ceux·celles qui venaient tout juste de commencer leur carrière quand le Covid les a décimés. Vous avez l’impression qu’il faut s’en emparer maintenant avant que tout ne disparaisse. Mais faire des concerts maintenant met en danger le futur de toute l’industrie. Jusqu’à ce que cette pandémie soit sous contrôle, les clubs et festivals ne reprendront pas. Et nous ne la contrôlerons pas si les gens continuent de se rassembler en foule dégueulasse."

"Oui, le gouvernement soutient les arts, les artistes et les auto-entrepreneurs de manière chaotique. Oui, pourquoi devriez-vous prendre votre responsabilité alors que votre propre gouvernement n’en a clairement pas ? Voilà. Ces mauvais dirigeants font mille fois pire qu’il ne le faudrait. Ce n’est pas une raison pour perdre la tête. C’est une raison pour prendre sa propre responsabilité. Soyez maître de vous-même."

Retrouvez l’intégralité du texte ici.

>> À lire aussi : Feu! Chatterton : “On fait de la chanson française libre”