Soolking assigne en justice une fan pour « harcèlement », elle se retrouve en prison
Une fan de Soolking se trouve actuellement entre les mailles de la justice après avoir harcelé sur les réseaux sociaux le rappeur. La jeune femme originaire de Nice a passé un week-end en prison en attendant d’être fixée sur son sort en juin...
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Une fan de Soolking se trouve actuellement entre les mailles de la justice après avoir harcelé sur les réseaux sociaux le rappeur. La jeune femme originaire de Nice a passé un week-end en prison en attendant d’être fixée sur son sort en juin prochain.
Un coup de foudre qui a tourné au vinaigre
Alors qu’elle avait déjà été placée sous contrôle judiciaire pour avoir harcelé l’artiste Soolking qui prépare son retour sur scène, une femme de 31 ans a passé le week-end en détention pour avoir continué de le dénigrer et de le harceler sur les réseaux sociaux. Elle sera jugée le 8 juin pour “harcèlement moral au moyen d’un support numérique, propos répétés ayant pour objet une dégradation des conditions de vie, faux et usage de faux, usurpation d’identité, tentative d’extorsion”, selon “Var-matin”. Après avoir été placée en détention tout le week-end, la Niçoise est passée en comparution ce lundi 2 mai 2022 au tribunal de Nice.
En effet, tout a commencé lors d’une performance du rappeur à Dubaï. La jeune femme serait tombée amoureuse du chanteur après sa prestation, mais le rappeur avait refusé de céder à ses avances. Irritée, la jeune femme s’est alors lâchée sur les réseaux sociaux, au point de nuire à la réputation de Soolking.
Après l’avoir examinée, un psychiatre a diagnostiqué que la femme souffrait « d’un délire érotomaniaque ». C’est donc sans doute ce trouble psychologique qui l’aurait alors poussée à déposer une plainte pour viol contre le rappeur. En revanche, le dossier a été classé sans suite le 28 avril, après que l’enquête a révélé qu’il s’agit d’un faux certificat de grossesse dans le but d’extorquer de l’argent au chanteur. Le procureur met alors en avant un acharnement sur les réseaux sociaux avec “des messages qui visent à nuire à la réputation du plaignant.
Avant la date de son jugement, la jeune femme est sommée de pointer une fois par semaine au commissariat. Elle a également l’interdiction d’entrer en contact avec Soolking et d’être active sur les réseaux sociaux, sous peine de retourner derrière les barreaux, même si elle estime que ce temps passé en prison l’a beaucoup fait réfléchir.