Sophie Davant : "Certains sont ivres de leur nouvelle popularité"
Affaire conclue revient à 21 h 05 sur le thème du romantisme. De quoi s'agit-il ?Sophie Davant : Il y aura de belles surprises ! Nous nous sommes efforcés de choisir des objets en harmonie avec le magnifique château de Pierrefonds (dans l'Oise,...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
Affaire conclue revient à 21 h 05 sur le thème du romantisme. De quoi s'agit-il ?
Sophie Davant : Il y aura de belles surprises ! Nous nous sommes efforcés de choisir des objets en harmonie avec le magnifique château de Pierrefonds (dans l'Oise, ndlr). Les vendeurs, tout comme les acheteurs, sont habillés en costumes d'époque (à la façon du milieu du XIXe siècle, ndlr).
Quel bilan dressez-vous de vos trois ans d'antenne à la tête de ce magazine ?
C'est d'abord la fierté de faire une émission qui permet au plus grand nombre d'accéder à la culture. On apprend beaucoup de choses, il y a ce suspense lié aux enchères... Je suis très fière aussi d'avoir pris une case à 350 000 téléspectateurs et de l'avoir portée à plus de 2 millions.
Comment l'expliquez-vous ?
Même si j'ai toujours aimé les jolies choses, je ne connaissais pas grand-chose à ce milieu. Je pense que mon côté néophyte a été un bon trait d'union entre les spécialistes et le public. Je suis entourée de passionnés. Que ce soient les commissaires-priseurs ou les acheteurs, ils sont drôles, intéressants et parfois iconoclastes.
Voire ingérables ?
Certains aiment juste l'émission en restant des marchands, d'autres sont ivres de leur nouvelle popularité. Le problème, c'est de se croire indispensable alors qu'en fait personne ne l'est, moi la première. Si on n'en est pas convaincu, on se perd !
Vous chinez le week-end ?
C'est vrai que j'ai appris à repérer les belles pièces. D'ailleurs, je ne résiste pas toujours à la tentation. J'ai même craqué pour un palmier en laiton de la maison Jansen !
Il faut dire qu'on vous apporte des merveilles...
Au départ, on a bien galéré pour trouver des objets. Aujourd'hui, on nous propose des œuvres d'art ! Des bronzes incroyables, des luminaires... Il y a aussi des gens qui se séparent d'objets pour boucler leur fin de mois. Cette émission, c'est le miroir de la France !
Sur les réseaux sociaux, vous êtes autant adulée que détestée. Être une jolie blonde, ça aide ou ça complique les choses ?
Ça les complique, encore (elle rit). J'ai droit à des commentaires déplacés du genre : "Elle est tapée", "Elle devrait se faire lifter". Comme je suis très sensible, les critiques gratuites me heurtent. Mais quand elles ne concernent pas mon look, j'en tiens toujours compte.
Votre fille prend son envol pour démarrer sa carrière. Que lui avez-vous conseillé ?
Valentine, ma fille, veut devenir journaliste gastronomique. Elle est douée pour ça : très naturelle, à l'aise. Et je trouve normal de la soutenir. Mais c'est elle qui fera ses choix de carrière. J'aurais été tout aussi fière si mes enfants avaient choisi n'importe quel autre métier. L'essentiel, c'est que ça les passionne.
Affaire conclue : romantisme au château de Pierrefonds © Gilles Gustine/FTV Affaire conclue : romantisme au château de Pierrefonds © Gilles Gustine/FTV Affaire conclue : romantisme au château de Pierrefonds © Gilles Gustine/FTV Affaire conclue : romantisme au château de Pierrefonds © Gilles Gustine/FTV Affaire conclue : romantisme au château de Pierrefonds © Gilles Gustine/FTV Affaire conclue : romantisme au château de Pierrefonds © Gilles Gustine/FTV