Sophie Séchan : "J'ai toujours été très admirative de mon frère Renaud"

Télé Star : On ne vous avait jamais entendue témoigner au sujet de votre frère. Qu'est-ce qui vous a décidé ?SOPHIE SÉCHAN : Ce qui a été dit dans certaines émissions sur Renaud ne correspond pas à la réalité. C'est David (Séchan, le frère...

Sophie Séchan : "J'ai toujours été très admirative de mon frère Renaud"

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

Télé Star : On ne vous avait jamais entendue témoigner au sujet de votre frère. Qu'est-ce qui vous a décidé ?

SOPHIE SÉCHAN : Ce qui a été dit dans certaines émissions sur Renaud ne correspond pas à la réalité. C'est David (Séchan, le frère jumeau de Renaud, ndlr) qui m'a dit que, là, je n'avais pas de souci à me faire quant au contenu du film. J'ai rencontré Aurélie Condou, la réalisatrice et coproductrice, et j'ai été rassurée.

On découvre grâce aux films de famille qui illustrent le documentaire que le jeune Renaud était très drôle. Vous confirmez ?

Oui, il faisait beaucoup de farces. Mais il n'était pas très souriant. Ma mère disait de lui qu'il était pince-sans-rire. Il aimait rejouer les sketchs de Guy Bedos, par exemple.

Racontez-nous comment votre père avait réagi lorsque, un jour, il avait chanté Crève salope devant tout le monde.

Il avait été très choqué. Il l'avait pris au 1er degré. Ma mère lui avait expliqué qu'il ne fallait pas. Nous, les frères et sœurs, on trouvait ça très drôle. J'ai toujours été très admirative de Renaud.

N'était-il pas le chouchou de votre maman ?

Je l'étais aussi en tant que petite dernière. Mais Renaud était plus chétif que David, qui avait moins besoin d'être protégé. On était six enfants mais on n'était privés de rien. On a eu beaucoup de chance.

Dans le journal intime de votre père Olivier Séchan, on trouve cette phrase : "Le succès de mon fils me tue." Comment la comprenez-vous ?

Mon père était auteur de livres pour la jeunesse, de romans policiers, mais à un moment il n'a plus trouvé l'inspiration alors que Renaud, lui, la trouvait. Et mon père avait du mal à se concentrer pour écrire. À la maison, il y avait toujours les enfants... Il était admiratif du poète qu'est Renaud, mais il n'était pas fan du côté showbiz de son métier. Mon père aimait l'art, la musique classique... Moi et ma mère, on était beaucoup plus « variétés ».

Avez-vous des nouvelles de votre frère ?

Je l'ai de temps en temps au téléphone. Il n'oublie jamais de m'appeler pour mon anniversaire ou à Noël... J'en ai aussi par Dominique et Lolita (son ex-femme et sa fille, ndlr). Il va bien mieux qu'il n'a été. Il se refait une santé et il est bien entouré.

Savez-vous s'il prépare de nouvelles chansons ?

Non, on n'en a pas parlé. Il n'est jamais très loquace, vous savez.

Renaud © TMC Renaud © TMC Renaud © TMC Renaud © TMC Renud © TMC Renaud et Sophie Sechan © TMC