Squeezie : pourquoi a-t-il été contraint à une censure “abusive” dans sa dernière vidéo

Squeezie a invité Vald et Naza dans sa dernière vidéo imposteurs, et la censure de certaines injures a fait grincer des dents les internautes.  Reprenant son fidèle concept des imposteurs, qui l’a suivi tout au long de l’année 2022, Squeezie,...

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Squeezie a invité Vald et Naza dans sa dernière vidéo imposteurs, et la censure de certaines injures a fait grincer des dents les internautes. 

Reprenant son fidèle concept des imposteurs, qui l’a suivi tout au long de l’année 2022, Squeezie, accompagné par Vald et Naza, a publié son 1er contenu de 2023 ce samedi. Une vidéo une nouvelle fois réussie, teintée d’un vocabulaire légèrement plus grossier, ce qui n’a pas échappé aux internautes, puisque la moindre injure a été censurée par l’équipe de montage. «Squeezie est obligé de censurer des “putains”, c’est quand même abusé», a relevé un utilisateur sur Twitter dans un commentaire liké par le vidéaste lui-même.

Squeezie et les créateurs n’ont plus le choix

Et force est de constater que le 1er YouTubeur français n’a pas vraiment le choix. Comme l’a noté Terracid dans une explication sur Twitter, la plateforme a corsé sa règle de démonétisation liée aux gros mots, forçant les créateurs à les censurer individuellement. «C’est ridicule, la censure bousille la vidéo, et leur règle est rétroactive, note-t-il. Un simple “Oh merde” suffit à démonétiser». Toutes les grossièretés sont donc désormais bipées.

Terracid ajoute enfin que la règle est rétroactive et s’implique aussi aux anciens contenus. «Pour que vous vous rendiez compte, entre le claims abusifs, les démonétisations liées au contenu ou aux gros mots c’est l’équivalent de plus de 2 ans de vidéos sorties démonétisées», précise-t-il avec une capture d’écran des vidéos démonétisées de sa chaîne. Maintenir la monétisation d’une vidéo YouTube s’avère désormais complexe pour de nombreux créateurs qui tiennent à maintenir leurs contenus tout public. Des conditions qui expliquent aussi la multiplication de sponsorisations, comme l’a relevé dernièrement le Joueur du Grenier.

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