Squid lâche le dément “Paddling”

La bande de Brighton a commencé l’année sur les chapeaux de roue avec Narrator, un titre de huit minutes prêt à faire exploser les vitres. Pour Paddling, les gars donnent un coup de ciseau et balancent six minutes (petits joueurs !) de texture...

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La bande de Brighton a commencé l’année sur les chapeaux de roue avec Narrator, un titre de huit minutes prêt à faire exploser les vitres. Pour Paddling, les gars donnent un coup de ciseau et balancent six minutes (petits joueurs !) de texture soniques arrachées sur une boucle de drum machine. Squidesque.

“Paddling est une chanson sur la dichotomie entre les plaisirs simples et le consumérisme décadent” a lâché Squid, dans des propos rapportés par le NME. Ils poursuivent : “Racontant une scène connue du Vent dans les Saules [de Kenneth Grahame], la chanson nous rappelle qu’après tout, nous sommes humains, nous sommes finalement des animaux conduits par des instincts à la fois modernes et primitifs, qui mènent à la vanité et au machisme qu’on côtoie tous les jours”.

Des sales gosses ambitieux

Pas de clip cette fois-ci. Mais rien ne vous empêche de (re)mater la délirante dystopie en 3D de Narrator en attendant ces sales gosses. Prévu pour le printemps, Bright Green Field, leur premier album, paraîtra chez Warp Records, qui héberge notamment Brian Eno, Boards of Canada ou !!! et chez qui Squid avait sorti deux singles, Sludge et Broadcaster.

Fin janvier, les gars avaient posté un message sur la page Facebook du groupe : “C’est le premier album qu’on a toujours voulu faire et sans doute la chose la plus ambitieuse que nous avons faites. Merci à tous·tes ceux·celles qui se sont engagées sur la création de ce disque. Nous en sommes si fiers”. Ça promet !

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