“The Northman”, “Nitram”, “L’Été nucléaire”… Les films de la semaine
Cette semaine, la bonne surprise vient de Justin Kurzel, mais la déception est du côté des vikings de Robert Eggers. The Northman de Robert Eggers Et quand on se met à regarder derrière l’impressionnante figure en carton pâte qu’est The Northman,...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
Cette semaine, la bonne surprise vient de Justin Kurzel, mais la déception est du côté des vikings de Robert Eggers.
The Northman de Robert Eggers
Et quand on se met à regarder derrière l’impressionnante figure en carton pâte qu’est The Northman, on est consterné par la bêtise du film, qui n’est finalement qu’une sorte de remake luxueux du déjà raté Valhalla Rising d’un autre maniériste, Nicolas Winding Refn : même culte d’un virilisme brutasse, même fascination pour la loi du talion. Par Bruno Deruisseau
Lire notre critique
Nitram de Justin Kurzel
La réussite de Nitram tient surtout dans la délicatesse avec laquelle Kurzel suit les déambulations tragicomiques de son antihéros. Le cinéaste choisit d’être pleinement avec son idiot dangereux, de le croire, de le jauger sans le juger, y compris lorsqu’il commet l’irréparable – dont les détails sanglants nous sont fort justement épargnés. Par Jacky Goldberg
Lire notre critique
Tranchées de Loup Bureau
Tranchées est filmé en noir et blanc, dans le souci de retirer à l’image ses marqueurs temporels et la rattacher à des guerres que l’on croyait révolues : le procédé est simpliste, ne fonctionne pas vraiment, mais donne quand même une certaine majesté aux soldats. Par Théo Ribeton
Lire notre critique
L’Été nucléaire de Gaël Lépingle
Drôle d’impression que celle de découvrir aujourd’hui ce long métrage qui semble tout droit tiré d’une certaine vague de teen movies pavillonnaires à la française sortis au début des années 2010. Des films empreints parfois de fantastique suggéré, avec électro ambiante, lampadaires qui grésillent, atmosphère humide et électrique, lumière légèrement bleutée, et dont Fabrice Gobert (Simon Werner a disparu…, Les Revenants) en serait le principal représentant. Par Théo Ribeton.
Lire notre critique
Cœurs vaillants de Mona Achache
Grâce à un casting d’enfants assez réussi, la 1ère moitié de cette fuite vers la zone libre est plutôt crédible. Avant d’être refroidi·e par un impensé du film – le sacrifice arbitraire d’une gamine –, puis par le jeu engoncé de Camille Cottin qui n’a jamais semblé aussi peu à sa place que dans ce rôle de résistante clopeuse à lunettes. Par Emily Barnett
Lire notre critique