Ugo Humbert vante ses prouesses en privé : "J'étais en crampes pendant...
Ugo Humbert a fait une entrée en douceur au tournoi de Tokyo ce mercredi. Le numéro un français a tiré avantage d’un tirage au sort favorable pour se défaire sans difficulté du Japonais Shintaro Mochizuki, qui avait reçu une wild-card pour...
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Ugo Humbert a fait une entrée en douceur au tournoi de Tokyo ce mercredi. Le numéro un français a tiré avantage d’un tirage au sort favorable pour se défaire sans difficulté du Japonais Shintaro Mochizuki, qui avait reçu une wild-card pour accéder au tableau principal. Le tennisman originaire de Metz a dominé la rencontre avec une victoire rapide et sans appel 6-1, 6-2. Au tour suivant, il devrait donc se retrouver face à Frances Tiafoe ou Brandon Nakashima, deux joueurs américains. On ne l'arrête plus !
Ugo Humbert : le Poséidon du tennis
Depuis ses 1ers pas sur le circuit, Le compagnon de Tessah Andrianjafitrimo ne cesse de séduire les amateurs de tennis. En mars dernier, il s'était notamment illustré en remportant la finale du prestigieux tournoi ATP 500 de Dubaï face au Kazakh Alexander Bublik. Suite à ce succès, le sportif âgé de 26 ans avait accordé une longue entrevue à nos confrères du Parisien dans laquelle il s'était exprimé plus en détail sur ses performances. "Je ne peux pas tout dire, mais ce qui est sûr, c'est que je ne suis pas tout seul dans ma tête. Nico Mahut me surnomme même Poséidon parce qu’il dit que je suis possédé quand j’arrive sur le court", avait-il révélé.
Un mental à toute épreuve
Il est vrai qu'Ugo Humbert semble avoir un mental d'acier. Même la douleur ne lui fait pas peur : "Déjà en finale à Metz (6-3, 6-3 face à Shevchenko), puis à Bercy contre Zverev (malgré la défaite 7-6 au 3e set). Mais le match qui m’a vraiment fait du bien et donné confiance, c’est la victoire en Coupe Davis en Grande-Bretagne contre Cameron Norrie (en septembre 2023). Il y avait 14 000 fans, une ambiance de dingue, je gagne 7-5 au 3e. J’étais en crampes pendant deux sets et cela ne s’est pas vu parce que j’ai super bien géré."
"On a tous une forme de folie"
C'est là tout le paradoxe du joueur. Discret, parfois même introverti, il est à l'opposé de l'image d'une star flamboyante. Loin d'être une bête de scène, il préfère laisser causer son talent et sa détermination sur le terrain plutôt que de briller sous les projecteurs en dehors du court. "Justement, c’est parce que ce n’est pas dans ma nature que je dois me mettre en condition", avait-il expliqué. "Sinon, tu as les jambes qui tremblent et tu n’y vas pas. Sur le circuit, on a tous une forme de folie, c’est obligé. Mais cela m’a demandé beaucoup d’efforts." De sacrées déclarations !