Une athlète des JO balance sur un champion français : "Il m'a mis son doigt...

L'ambiance est très sport en cette année 2024. Pour cause, Paris accueille une grand-messe sportive et non des moindres : les JO. Et cette année, les Jeux Olympiques sont en grande partie entachés par des polémiques et des débats en tout genre....

Une athlète des JO balance sur un champion français : "Il m'a mis son doigt...

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

L'ambiance est très sport en cette année 2024. Pour cause, Paris accueille une grand-messe sportive et non des moindres : les JO. Et cette année, les Jeux Olympiques sont en grande partie entachés par des polémiques et des débats en tout genre. Outre la participation d'Aya Nakamura pour la cérémonie d'ouverture, il y a aussi des rumeurs sur le sexe supposé de certains athlètes. Comme la boxeuse Imane Khelif, qui peine à s'en dépatouiller. D'autres anecdotes croustillantes abondent et certains athlètes font le buzz malgré eux. Comme le perchiste éliminé à cause de la taille XXL de son entrejambe. Du côté du village olympique, les langues se délient également. En témoignent les propos de cette Américaine présente pour les festivités.

JO de Paris 2024 : une sprinteuse explique l'envers du village olympique

Le village olympique, conçu pour les JO est un réel vase clos... Enfin presque ! Et cette année, entre les athlètes, il y a eu du remue-ménage. Si on sait que Léon Marchand a pu "se faire plaisir" à sa manière, d'autres ne se sont pas gêné pour croquer la pomme. "Un soir, j’ai vu un athlète français sortir de la chambre de la copine du futur champion olympique", a balancé une sprinteuse entrevueée par nos confrères du Parisien. Et ses révélations ne s'arrêtent pas là. Alors qu'elle est témoin de la scène, l'athlète en question s'approche d'elle... "Il m'a juste mis son doigt sur sa bouche et je n’ai jamais rien dit. Moi, j'étais mariée et fidèle, mais chacun fait ce qu’il veut".

"J'étais mariée et fidèle, mais chacun fait ce qu'il veut"

Les parties de jambes en l'air sont donc monnaie courante dans le village conçu pour les JO de Paris. Et cela ne date pas d'hier. Quant à savoir comment les sprinteurs, perchistes, boxeuses, judokas et consorts s'organisent… Il n'y a qu'à leur demander. "Il suffit de s'organiser, a dit la coureuse à l'origine de l'anecdote citée plus haut. Si on me demande de ne pas monter dans la chambre, j'attends dans le hall en discutant avec mes coéquipiers le temps qu'ils finissent ce qu'ils ont à faire", indique celle qui a prêté sa chambre à un sprinteur anglais pour l'occasion. Une organisation, somme toute, millimétrée. Eh oui, on a tendance à croire que le sexe bride nos athlètes, mais que nenni !

Vie intime aux JO : "Il y a beaucoup de mouvement dans les parkings"

Il n'a pas fallu attendre les JO de Paris 2024 pour qu'un village olympique se transforme en "baisodrome". En effet, le champion Guy Drut en saut de haie et membre du CIO actuel a rapporté que cela s'était fait en 1972. Ce, alors même que les villages n'étaient pas mixtes, comme maintenant. C'est du moins ce qu'il a constaté à l'époque en Allemagne. "C’était le dernier village où les hommes et les femmes étaient séparés, mais il y avait beaucoup de mouvements dans les parkings", explique-t-il en ricanant copieusement auprès de nos confrères du Parisien. Certains se donnent aussi rendez-vous dans des lieux assez cocasses. Comme la laverie, par exemple, où certains ne se gênent pas de le faire sur les machines ! Attention les secousses...