Une athlète transgenre va participer aux prochains JO : "Elle est la bienvenue comme...
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont grandement fait jaser cette année. Outre les critiques sur la cérémonie d'ouverture, jugée trop inclusive, une autre polémique vise une athlète. En effet, Imane Khelif, boxeuse médaillée aux JO, a essuyé...
admin
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont grandement fait jaser cette année. Outre les critiques sur la cérémonie d'ouverture, jugée trop inclusive, une autre polémique vise une athlète. En effet, Imane Khelif, boxeuse médaillée aux JO, a essuyé de lourdes accusations sur son genre. Elle est accusée d'être un homme au sens biologique du terme. Mais selon le comité, elle souffrirait "d'hyperandrogénie, une maladie qui a pour conséquence un taux de testostérone supérieur à la normale". Alors que les jeux paralympiques se préparent, grande nouvelle...
JO paralympiques : une femme trans représentera l'Italie
Les JO, ou plutôt les Jeux Paralympiques de Paris 2024, accueilleront pour la 1ère fois une athlète transgenre. En effet, Valentina Petrillo, Italienne de 50 ans, atteinte de déficience visuelle, se présentera dans sa compétition. Avant sa transition, cette athlète avait remporté de multiples titres en catégorie masculine T12. Cela étant, en 2019, elle est devenue femme et a commencé sa transition. C'est donc un autre défi auquel elle se confronte en étant athlète transgenre. Surtout en ces temps où cette question suscite de vifs débats. Nous l'avons vu avec l'Algérienne Imane Khelif.
Quid des femmes trans dans le sport de haut niveau ?
Le comité international paralympique a été plus que clair sur la question. Valentina Pertillo est tout à fait "la bienvenue, comme n'importe quel athlète", a dit Andrew Parsons, le président de ces JO. "Je pense que la science devrait nous donner la réponse, car nous voulons être justes avec tous les athlètes et c'est une question très difficile", poursuit ce dernier à la BBC. Pour l'instant, tout dépend des différentes fédérations. Il n'y a donc pas véritablement de réponse quant à savoir si un ou une athlète transgenre est légitime ou non à concourir. La principale raison : les taux d'œstrogènes et de testostérone, qui représenteraient un avantage génétique selon les catégories.
Les personnes trans peuvent-elles participer aux JO ?
La présence d'athlètes transgenres aux JO, hors paralympiques, va-t-elle se généraliser ? Les JO de Tokyo semblent la seule exception, avec l'haltérophile Laurel Hubbard. La question des athlètes trans aux JO n'est donc pas un débat qui date d'hier. Outre la question de la discrimination réside ce fameux problème de génétique. Aussi, certaines fédérations imposent des normes. Comme le fait d'avoir entamé sa transition à l'âge de 12 ans, pour avoir des taux de testostérones inférieurs à 2,5 nmol/L pour les femmes trans, par exemple. Ce qui soulève un autre problème : celui des transitions médicales précoces. Une question épineuse, en somme, avec matière à débat.
