Une nouvelle livraison de joyaux bruts pour le folkeux Ben Howard
Biberonné au folk ancestral, Ben Howard participe depuis ses débuts à le dépoussiérer, à le propulser dans la modernité, sans recourir à la force ni en dénaturer l’essence. A écouter sa voix gracile, ses murmures à longueur d’albums depuis...
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Biberonné au folk ancestral, Ben Howard participe depuis ses débuts à le dépoussiérer, à le propulser dans la modernité, sans recourir à la force ni en dénaturer l’essence. A écouter sa voix gracile, ses murmures à longueur d’albums depuis 2011, on comprend que cet auteur-compositeur modeste choisit toujours la voie de la douceur et de la subtilité pour exprimer ce qu’il a sur le cœur.
Les paroles du trentenaire ne sont pas pour autant des contes de fées : sur Collections from the Whiteout, son quatrième long format, il devient le narrateur de faits divers qui l’ont marqué, comme la mort du navigateur amateur Donald Crowhurst ou le parcours de la fausse héritière mais vraie escroqueuse Anna Sorokin.
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Si les touchants Rookery et Buzzard sont laissés au naturel, en version guitare/voix comme des joyaux bruts, les autres morceaux de ce nouvel album s’étoffent de touches ambient et de gracieuses rythmiques électroniques – le très demandé Aaron Dessner tient ici le rôle de producteur. D’autres artistes doués, dont Kate Stables de This Is the Kit, figurent aussi au générique pour échafauder cet album entre pop acoustique et electro sensible.
Collections from the Whiteout (Tôt ou Tard/Believe)