Université: l'Institut Montaigne fait une proposition pour l'augmentation des frais de scolarité ! On vous donne plus de détails.
L'Insititut Montaigne
propose l'augmentation des frais de scolarité des étudiants des universités ! MCE TV vous donne plus de détails.
Pour une hausse des frais de scolarité en université
Les Echos rapporte que l'Institut Montaigne serait favorable à une hausse des frais de scolarité pour les étudiants des universités. Ainsi, ils passeraient
de 170 à 900 euros en licence.Et de 243 à 1 200 euros pour les classes en master. Cette hausse devrait
aussi concerner les classes préparatoires. Ainsi que les écoles supérieures publiques.D'un autre côté, les frais de scolarité ne devraient pas changer pour les formations où ils sont déjà plus élevés. Mais cette hausse ne risque-t-elle pas de mettre
en difficulté certains étudiants et famille ?Mais il y a une solution pour éviter que cela n'arrive. Eh oui. Le rapport suggère donc un système de prêts innovants. Il s'agit du
PARC, prêts à remboursement contingent.Dans certaines universités, cette solution existe déjà. Eh oui. C'est le cas en Australie par exemple. Le pays a
mis en place ce système depuis 1989. Rien que ça !La Conférence des grandes écoles avait aussi fait cette proposition avant les élections présidentielles de 2017. Eh oui. Désormais l'Institut Montaigne remet
de nouveau cette idée sur le tapis.Il propose aussi que le dispositif soit ouvert au secteur privé. Mais il devrait
tout de même être plafonné. Sans trop de surprise.Le rapport estime qu'en France, l'accès à l'enseignement supérieur
"se heurte souvent au coût de la vie étudiante". Elle devient donc un vrai obstacle
pour les jeunes étudiants.Une solution pour les jeunes
L'Institut Montaigne souhaite
généraliser les droits de scolarités à tous les étudiants des universités. Y compris à ceux qui ont déjà des bourses et en sont exonérés.
"Le budget dégagé pouvant être réalloué à une hausse des bourses monétaire." rapporte le journal Les Echos. Ainsi, le prêt
pourrait financer les droits de scolarité. Mais aussi les frais de la vie étudiante des jeunes en université.Mais quel différence avec un prêt classique ? Eh bien, le remboursement
ne se fait qu'une fois les études finies. De plus, il "
est conditionné à l'atteinte d'un certain seuil de revenus."Ainsi, le rapport précise que le jeune devra commencer à rembourser son prêt
à partir d'un salaire de 1 500 euros net par mois. Il faudra compter 35 euros par mois pour le remboursement. Rien que ça.Ainsi, en dessous de ce salaire, le jeune actif n'aura rien à payer. Logiquement donc, plus le revenu est important,
plus le remboursement sera important. Sans surprise. Et vice versa.Le PARC semble donc
comme une solution d'"équité". L'Institut Montaigne déplore en effet l'insuffisance des bourses et des prêts actuels. Sans surprise.Stanislas Guérini de son côté avait déjà proposé un prêt à taux zéro de 10 000 euros pour chaque jeune de 18 à 25 ans. Rien que ça.
"Un capital jeune" qui aide donc
les jeunes à se lancer dans la vie active. Eh oui.Une bonne solution qui pourrait
être bénéfique aux jeunes. Affaire à suivre de très près.