[Vidéo] Petit Prince remonte le temps dans le clip de “JSP”

Quoi de plus naturel que d’illustrer un morceau titré JSP, acronyme de “je sais pas”, avec une vidéo qui vous retourne le cerveau, questionne votre réalité et vous laisse songeur ? C'est évidemment ces sensations que convoite Petit Prince pour...

[Vidéo] Petit Prince remonte le temps dans le clip de “JSP”

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

Quoi de plus naturel que d’illustrer un morceau titré JSP, acronyme de “je sais pas”, avec une vidéo qui vous retourne le cerveau, questionne votre réalité et vous laisse songeur ? C'est évidemment ces sensations que convoite Petit Prince pour illustrer le 5e morceau de son premier album Les plus beaux matins. Réalisé par Robin Lachenal, le clip, tourné en "vrai-faux" plan séquence, fait se confondre 2 lignes du temps – l’une à reculons, l’autre vers l’avant – dans une sorte de variation modeste de Tenet de Christopher Nolan.

Avec cette astuce vieille comme le cinéma lui-même – éprouvée par Georges Méliès jusqu’à Michel Gondry (le clip de Drop de The Pharcyde) – Robin Lachenal et Petit Prince parviennent à figurer tout en poésie les questionnements qui habitent ce morceau qui parle de la vie comme d'“un plan séquence sans réponses”.

>> A lire aussi : Serge Gainsbourg, l’interview fleuve de 1989 : “En ligne de mire, je n’avais pas le bonheur”

Métro-boulot-dodo

Ce retour inopiné de Petit Prince, après les vidéos de Tendresse sur canapé et Chien Chinois, remet un coup de projecteur sur l'album dont JSP est issu : Les plus beaux matins. Un premier album sur lequel Petit Prince abandonnait définitivement la musique instrumentale de ses débuts pour lorgner vers une pop chantée en français. A la réécoute de ce JSP qui tord le cou au métro-boulot-dodo, on se dit qu'il est grand temps de s’y replonger.

>> A lire aussi : Pour MC Solaar, Gainsbourg reste “un passeur exceptionnel”