Yann Barthès se réjouit en plein Quotidien d'une erreur commise par un de ses concurrents !
Sur tous les plateaux de télévision, particulièrement dans les talk-shows, l'actualité des prochaines élections législatives domine les discussions. De nombreuses émissions ont proposé des éditions spéciales centrées sur ce sujet et Quotidien...
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Sur tous les plateaux de télévision, particulièrement dans les talk-shows, l'actualité des prochaines élections législatives domine les discussions. De nombreuses émissions ont proposé des éditions spéciales centrées sur ce sujet et Quotidien ne fait pas exception.
Pour répondre aux attentes de son public, Yann Barthès et son équipe de chroniqueurs analysent avec précision les derniers développements politiques. Cependant, en cette période d'instabilité politique, maintenir une ambiance détendue sur le plateau reste un défi malgré les efforts des journalistes.
Yann Barthès profondément attristé
Après l’annonce de la dissolution par le président Emmanuel Macron, les chaînes de télévision ont dû revoir entièrement leur programme, y compris celui de TMC. Yann Barthès et son équipe de chroniqueurs ont réagi sans hésitation à ce bouleversement.
Cependant, l’ambiance en France n’a pas seulement affecté les citoyens, elle a également touché Yann Barthès lui-même. Le mardi 11 juin 2024, le présentateur a exprimé avec tristesse :« Bon, on est d’accord ? C’est toujours le bordel ». Puis il continue avec une pointe d'ironie dans la voix : « Ne m’en voulez pas si j’ai envie de danser ». Mais ce jeudi 20 juin 2024, l’animateur a enfin retrouvé sa bonne humeur.
Quotidien en concurrence avec CNews
Quotidien et CNews c'est pas l'amour fou. Entre ces deux médias, les relations sont même plutôt hostiles. Cette rivalité est ouvertement affichée dans les médias, que ce soit d'un côté ou de l'autre. Le chroniqueur Jean-Michel Aphatie a récemment alimenté cette animosité. En effet, le journaliste a rapporté que Pascal Praud prétendait connaître la décision du président ainsi que ses intentions en cas d'absence de majorité absolue.
La régie a alors diffusé un extrait de l'émission de CNews où Pascal Praud déclare : « Si pas de majorité, l'article 16 quand même ». Jean-Michel Aphatie a pris le contre-pied de ces affirmations en détaillant point par point cet article controversé pour montrer que Pascal Praud se trompait lourdement et que ses sources étaient très peu fiables. L'équipe de Quotidien n'a pas manqué de rire de ce prétendu scoop provenant de leur concurrent.
