Zendaya impressionne, mais ne sauvera pas “Malcolm & Marie”
S’il y a une chose qu’on ne peut enlever à Sam Levinson, c’est sa capacité à mettre les pieds dans le plat – fût-ce un petit plat. En l’occurrence, il s’interroge ici sur le cinéma, ce qu’il peut, ce qu’il doit, ce qu’il sait faire, au moment...
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S’il y a une chose qu’on ne peut enlever à Sam Levinson, c’est sa capacité à mettre les pieds dans le plat – fût-ce un petit plat. En l’occurrence, il s’interroge ici sur le cinéma, ce qu’il peut, ce qu’il doit, ce qu’il sait faire, au moment où la politique des identités s’invite au banquet des artistes. Pour le dire autrement, Levinson se demande ce que lui, jeune cinéaste blanc, hétéro, né avec une cuillère d’argent dans la bouche (il est le fils de Barry Levinson, vieux routier du Hollywood 80’s et 90’s avec Good Morning, Vietnam, Rain Man, Des hommes d’influence…) a le droit de raconter.